[English version in pink below]
Les fermiers aux États Unis ont de la chance – ils ont de grandes fermes. Ce n’est pas le cas en Mexique. Mais, le Mexicain de qui je vais vous parler, était assez content de sa ferme. Une fois, un fermier texan est venu chez notre Mexicain. Ils ont commencé à discuter de leur ferme. Le Mexicain a dit :
“Vous voyez, Señor, ma ferme, elle est assez grande. Au-delà de la maison jusqu’à la rue, et jusqu’à cette maison-là.”
Le Texan l’a trouvé drôle.
“Tu penses qu’elle est grande?”
Notre Mexicain le pensait. A-t-il dit :
“ Si Señor, et la vôtre, est-elle si grande?”
Le Texan lui a expliqué :
“Cher ami, viens chez moi un de ces jours. Prends ma bagnole après le petit déjeuner et conduis-la toute la journée – dans n’importe quelle direction. Tu n’arriveras pas à sortir de ma ferme. Tu piges?”
Le Mexicain a pigé.
“ Si Señor, je comprends. J’avais une voiture comme ça, il y a deux ans. Heureusement, un stupido l’a achetée!”
American farmers are lucky. They have huge ranches, unlike their Mexican counterparts. But this Mexican farmer of our little story is quite pleased with his farm.
Once, a Texan rancher visited our Mexican and they started talking about their farms.
The Mexican said, “You see, Señor, I got a rather big farm. From that house over there all the way to the street and up to that house.”
The Texan found this funny. “So you think your farm is big, aye?”
Clearly, our Mexian thought so. So he siad, “Si , how about you, you got such a big farm?”
The Texan decided to get pedantic. “My dear friend,” he said, “you come to my ranch one day. Have a nice little breakfast in the morning, take my car, and drive. Whichever way you like. Till evening. You will still be within my farm. You get it now?”
The Mexican got it.
“Si Señor, I understand. I had a car like that once. Luckily I managed to sell it to one stupido!”