[Another of my French “redactions,” this piece is a translation of a joke, which perhaps didn’t translate too well. I was told that the French version was in poor taste. Now, reading it again, I feel that the English version doesn’t fare much better. You be the judge!]
[In English first]
Once, an American was in England. In a public bus, he saw an English lady sitting with her little dog, occupying two seats. The bus was crowded and many passengers were standing. The smart American, inspired, asked the lady very nicely: “Ma’am, if we put your poodle on your lap, one of us standing could sit. Much appreciated.”
To his surprise, the lady didn’t pay any attention to him. A little miffed, he repeated his request. The lady ignored him with a disdainful look. Americans are men of action, and don’t waste words (where guns and bombs would suffice, as we know). Embarrassed, and being quite American, he picked up the dog and threw it out the window and sat down in its place.
An English gentleman across the aisle was watching the whole exchange. He tut-tutted disapprovingly and said, “You Americans! Whatever you do, you do it wrong. You drive on the wrong side of the street. You hold your fork in the wrong hand. Wrong habits, wrong clothes, wrong manners! Now see what you have done!”
The American was on the defensive. “I didn’t do anything wrong. It was her fault, and you know it.”
The English gent explained, “Yes my dear fellow, but you threw the wrong bitch out the window!”
Une fois, un Américain alla en Angleterre. Dans un bus de transport en commun, il aperçut une Anglaise et son petit chien assis, occupant deux sièges. Il y avait du monde dans le bus et des personnes qui se tenaient debout. L’Américain, étant malin, eut une bonne idée. Il demanda à l’Anglaise très poliment,
“Madame, si vous mettiez votre chien sur vos genoux, une des personnes debout pourrait s’asseoir.
À son grand étonnement, l’Anglaise ne tint aucun compte de sa demande. Gênè, il répéta sa demande. L’Anglaise le regarda avec dédain et resta toujours désagréable. Les américains ne perdent pas de mots, ils sont des hommes d’action. Embarrassé et étant assez américain, il prit le chien, le jeta dehors du bus et s’assit.
Il y avait un Anglais en face qui remarqua tout ce qui se passait. Il dit,
“Les Américains! Quoique vous fassiez, vous le faites mal! Dans la rue, vous conduisez du mauvais côté. Au diner, vous prenez la fourchette avec la mauvause main. Mauvaises habitudes, mauvaises coutumes, mauvaise morale! Et maintenant, regardez ce que vous avez fait.”
L’Américain était sur la défensive,
“Et qu’est-ce que j’ai fait? C’était sa faute, et vous le savez!”
L’Anglais lui répondit,
“Oui, oui. Mais vous avez jeté la mauvaise chienne du bus!”